Membres
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Co-fondatrices

Mirjam Gollmitzer

Professeure adjointe au département de communication à l’Université de Montréal, Mirjam Gollmitzer utilise des approches critiques pour l’analyse des médias et du journalisme. Elle s’intéresse aux conditions de travail et de vie de journalistes, à leurs identités en tant que travailleurs créatifs souvent précarisés, au capitalisme néolibéral (contexte contemporain de la production médiatique), et aux coopératives de journalisme (organisations alternatives).
 

Juliette De Maeyer

Juliette De Maeyer est professeure agrégée au département de communication de l'Université de Montréal. Ses recherches portent sur la matérialité, les technologies et l’épistémologie du journalisme, souvent avec une approche historique. Elle est co-fondatrice du groupe de lecture et d'activité Paperology, membre du Centre de recherche interuniversitaire sur les humanités numériques (CRIHN), du Groupe de recherche sur la communication politique (GRCP) et du Laboratoire des Identités et Pratiques Journalistiques (LaPIJ).

Membres associé·es

Florence Le Cam

Chaire de journalisme à l’Université libre de Bruxelles, Florence Le Cam s’intéresse plus particulièrement aux identités professionnelles journalistiques, à leur construction historique tout comme à leurs ajustements aux transformations contemporaines (changements des règles du marché du travail, appropriation des nouvelles technologies, transformations culturelles).

Samuel Lamoureux

Samuel Lamoureux est professeur régulier en communication au Département Sciences humaines, Lettres et Communication de l’Université TÉLUQ. Il enseigne principalement des cours de théories du journalisme et d’histoire de la communication. De manière générale, ses recherches portent sur une analyse critique de la production de l’information, sur la dépendance des journalistes envers les plateformes, et sur les formes de résistance face au capitalisme numérique.

Frédérick Lavoie

Frédérick Lavoie est journaliste indépendant, écrivain et chargé de cours au D.E.S.S. en journalisme à l'Université de Montréal. Il a réalisé des reportages dans plus d'une trentaine de pays pour des médias québécois et européens. Dans son dernier livre, Troubler les eaux (La Peuplade, 2023), il remet en question les pratiques usuelles en journalisme international afin d'en imaginer d'autres, plus justes, plus fécondes, et qui sauraient notamment mieux représenter la catastrophe écologique en cours. Il bénéficie actuellement d'une bourse du Conseil des arts et des lettres du Québec pour un projet de recherche intitulé Désanthropocentrer le récit, auquel contribueront d'autres membres d'Atelier -30-.

Membres étudiant·es

Clara Champagne

Clara Champagne est étudiante au doctorat en communication à l’Université de Montréal. Ses intérêts de recherche principaux sont l’épistémologie du journalisme américain, les enjeux épistémologiques et éthiques soulevés par des bris du « contrat de lecture » du journalisme littéraire, et l’histoire et l’héritage du Nouveau Journalisme. Sa recherche doctorale vise à offrir une nouvelle lecture sociohistorique des premières œuvres de Joan Didion en cartographiant les mondes dans lesquels leur écriture était imbriquée.
 

Marie-Claude Dupont

Marie-Claude Dupont est doctorante en communication et chargée de cours au DESS en journalisme à l’Université de Montréal. Elle s’intéresse particulièrement à l’épistémologie féministe en journalisme et à ses enjeux éthiques, aux questions qui lient genre, journalisme et conflit et aux connaissances générées par les études transnationales sur le journalisme. Dans le cadre de sa recherche doctorale, elle collabore avec des femmes journalistes au Québec, en Belgique, au Burkina Faso et au Sénégal pour fournir un éclairage nuancé sur les enjeux de production d’information sur les femmes.
 

Amandine Hamon

Amandine Hamon est étudiante au doctorat en communication à l’Université de Montréal. Ses recherches portent sur l'émergence d'un "journalisme de migration" comme spécialité thématique au sein du journalisme, et les rapports qu'entretiennent les journalistes avec cette spécialité. Plus largement, son travail interroge les liens affectivo-moteurs des journalistes avec leur travail (ce qui les anime, ce qui les met en mouvement).
 

Clotilde Séjourné

Clotilde Séjourné étudie au doctorat en communication à l'Université de Montréal. Elle s'intéresse particulièrement aux enjeux de communication et de santé à l'ère du numérique, spécifiquement au thème de la santé sexuelle féminine. Elle mène en parallèle des recherches sur les médias citoyens et la notion des "possibles" en contexte de transition socio-écologique.
 

Elisabeth Saulnier

Elisabeth Saulnier est étudiante à la maitrise en communication à l’Université de Montréal. Son projet de recherche s'intéresse à la couverture médiatique des manifestations contre la réforme des retraites en France. A travers une analyse des cadres médiatiques, il vise notamment à explorer la question de l'attribution de la responsibilité des violences liées à ces manifestations.
 

Lou Andrysiak

Lou Andrysiak est étudiante au D.E.S.S. en journalisme à l’Université de Montréal. Elle a opté pour l’option recherche-création afin de se questionner sur la place du féminisme dans le journalisme. Ses recherches lui permettent de réfléchir à la conjugaison possible entre les revendications féministes des journalistes face à l’objectivité demandée au Québec. En s’intéressant aux diverses formes que ces valeurs peuvent incarner, elle se concentre notamment sur le cas du reportage littéraire (et des creative nonfiction plus généralement).
 

Elisa Arnal

Elisa Arnal est étudiante à la maîtrise en communication à l’Université de Montréal. Elle s’intéresse particulièrement aux pratiques journalistiques et à la manière dont le public perçoit l’information. Son projet de recherche porte sur la dégradation de la santé mentale des journalistes en formation ou déjà professionnels.
 

Nina De Winter

Nina De Winter est étudiante à la maîtrise en communication à l’Université de Montréal. Son projet de recherche porte sur l'intersection des réseaux sociaux et de la mémoire collective concernant la Résistance en Flandre. Plus spécifiquement, elle s’intéresse au concept de “travail de mémoire” et la manière dont les utilisateurs des réseaux flamands s’engagent avec et façonnent le récit entourant la Résistance.

 
Pour la liste des ancien·nes membres et leurs travaux de recherche, consultez la page
Thèses, mémoires et travaux dirigés
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